Ce livre sur Terraform s’adresse aussi bien aux « Devs » qu’aux « Ops », débutants ou disposant déjà de notions de base, qui souhaitent maîtriser le développement d’une infrastructure sur le cloud. Le lecteur y trouvera des cas d’usage illustrés par des exemples de code variés lui permettant d’être à l’aise avec son langage, son utilisation et son écosystème.
Pour la deuxième année consécutive, j’ai la chance d’être speaker à DevOxx France.
Le pass de speaker me permet d’assister aux trois jours de la conférence (dont les billets partent plus vite que ceux d’un concert d’AC/DC).
Ce post fait le bilan de ma participation à cette édition 2025, sur les deux plans, en tant que speaker et en tant que participant.
DevOxx, c’est quand même ouf
Être speaker permet de découvrir les coulisses de l’organisation. En observant un peu les fameux gilets rouges (tenue officielle des organisateurs), on peut se rendre compte du travail colossal de l’organisation d’une conférence comme DevOxx France (rien à voir avec ma conf pref : Cloud Nord). 15 salles, ça nécessite 15 gilets rouges pour briefer les speakers, et 15 ingés pour la partie technique (micro, équipement de captation). Sans compter l’accueil et la remise des badges, la bagagerie, la logistique pour la distribution des repas, le point info, etc.
Les orgas sont aux petits soins et très nombreux.
En ce début de mois d’avril, j’ai consacré pas mal de temps à la préparation de mon talk à DevOxx : Rebase d’images Docker/OCI avec crane, donc forcément, ma veille a été un peu plus light que d’habitude.
Néanmoins, j’ai quelques liens sympas à partager.
Je vais aussi publier en prochainement mes impressions sur cette édition de DevOxx 2025, avec les talks auxquels j’ai eu la chance d’assister. Et j’amenderai ce futur article avec les liens vers les vidéos quand elles seront disponibles !
Avec la sortie récente de Java 24, cette deuxième édition de La veille de Wittouck rassemble tout d’abord quelques lectures indispensables autour de la toute nouvelle version de mon langage préféré.
Quelques articles généralistes également, dont un très bien illustré sur les technologies de stockage. Enfin, parmi les nouveautés, l’outil kaniuse référence la compatibilité des API Kubernetes (très pratique), et Docker Compose supporte maintenant la publication des fichiers compose.yml dans un registry OCI.
Aucunpost, aucune page de ce blog n’est écrit avec une IA.
Les raisons en sont nombreuses. Je ne suis pas un grand utilisateur des IA en général. Cette page, en plus de clamer haut et fort ce postulat, a aussi pour but d’en expliquer les raisons.
J’aime écrire et être lu
C’est peut-être prétentieux, mais j’aime à penser que les personnes qui viennent lire mes articles le font en partie parce qu’elles espèrent avoir mon point de vue, mon approche, et pas celle d’un LLM (Large Language Model).
Mes biais sont suffisants pour ne pas avoir à ajouter ou gérer ceux d’un LLM américain, chinois, ou même français d’ailleurs.
Je vais essayer dans les prochaines semaines de publier les liens que je découvre lors de ma veille techno courante, dans le cadre de mon boulot ou depuis mon canap’ 🛋️
Le rythme de publication sera probablement bi-mensuel : un rythme hebdomadaire me semble trop compliqué à tenir et un rythme mensuel peut-être un peu trop long.
Cette démarche a deux buts principaux : partager ce que je découvre et décharger mon esprit (et mes onglets Firefox 😅)
Cet article décrit comment utiliser Terraform et le provider Vault pour configurer l’authentification OIDC avec GitLab. À titre d’exemple, quelques secrets seront aussi stockés dans le Vault.
Pour les besoins des cours que je donne à l’Université de Lille, j’ai dû configurer un serveur Vault sur Clever Cloud.
Et bien entendu, j’ai fait tout ça avec Terraform.
Cet article décrit comment utiliser le provider Terraform de Clever Cloud pour déployer un serveur Vault. Un article suivant décrira comment le configurer pour l’authentification OIDC avec GitLab et y stocker quelques secrets à titre d’exemple.
Pour les besoins des cours que je donne à l’Université de Lille, j’ai dû configurer des bases de données PostgreSQL et un serveur Vault sur Clever Cloud (l’installation et la configuration d’un Vault sur Clever Cloud feront l’objet d’un article consacré).
Étant aussi un grand utilisateur de Terraform (qui l’eût cru ?), j’en ai profité pour automatiser tout ça avec mon outil préféré.
Cet article décrit comment utiliser le provider Terraform de Clever Cloud pour instancier une base de données et récupérer ses accès.
La première étape consistera à configurer un backend pour y stocker le fichier d’état de Terraform (state), la seconde étape consistera à créer la base de données en elle-même.
Apache Tomcat est le plus célèbre des conteneurs de Servlets Java.
Les versions se succèdent au fil des années. Avec Spring Boot, et son utilisation de la version «embedded», son usage en tant que serveur «installé» a diminué, mais il reste encore au cœur de la majorité de nos micro-services, parfois sans que les développeurs s’en rendent compte.
Chaque version majeure de Tomcat apporte le support des nouvelles versions des API Java EE ou JEE.
Dans cet article, nous allons voir comment déployer SonarQube sur Clever Cloud en deux temps. Le premier consistera en un déploiement très simple, qui est équivalent à une installation locale. Dans un second temps, nous utiliserons une base de données PostgreSQL externalisée pour assurer la persistance des données.
Cet article suppose que vous avez déjà un compte actif sur Clever Cloud, et que votre CLI est installé et configuré.
L’installation du CLI est décrite dans la documentation de Clever Cloud.